Dans John le Carres, premier roman d'espionnage postglasnost, The Russia House, capture l'effet d'un dégel lent et incertain sur les gens ordinaires et sur les ténébreux marionnettistes qui les commandent. Barley Blair n'est pas un homme de service, c'est un petit éditeur, une âme autodestructrice dont les seuls amours sont le whisky et le jazz. Mais c'est Barley qui, une nuit ivre dans une datcha à Peredelkino pendant la Foire du livre de Moscou, s'est lié d'amitié avec un scientifique soviétique de haut rang qui pourrait être le plus grand atout de l'Occident si Relié