Nathael Paris
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Franco multi-marques dès 300,00 €
- Fondée en 2000
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nathaelparis
Notre marque est née en 2019. Non. En réalité, notre histoire commence quelques années auparavant... Durant nos années d’études, Anne et moi, Stéphanie, sommes vite devenues amies. C’est tout autant l’histoire d’un coup de cœur professionnel qu’amical.
Dès le début, nous l’avions compris : nous avions les mêmes aspirations, les mêmes goûts, les mêmes rêves... C’est donc naturellement que nous avons commencé à créer Nathael Paris. Inconsciemment, presque sans le vouloir, autour de cafés bus en terrasse parisienne, après ou pendant nos cours. C’est ici. C’est ici que notre histoire débute. Prenant vie, tous simplement grâce à une idée, un concept, une passion, un rêve...
Nous marchons sur Grand Boulevard, chacune un immense sac sur l’épaule. Qu’il était lourd ce sac ! Tissus, fils à coudre, carnet, crayons, des tonnes de crayons et de feutres en désordre dans le sac d’une et rangé dans une petite trousse pour l’autre. Comme souvent, suite à l’approche de la fin de nos études, nous parlons -rêvons- de notre future, de nos projets. Anne est la première à le verbaliser : « Moi, j’aurais ma marque, une marque qui parle au gens. » Elle souriait.
« Et si on le faisait ? Vraiment, pour de vrai. » Ça fait déjà plusieurs années et pourtant, je me rappelle de tous, je ne pourrais jamais oublier. Je me revois, l’étincelle dans les yeux poser à Anne cette question -qui n’en était pas une à vrai dire-. Elle n’aurait même pas eu besoin de me répondre, je connaissais déjà la réponse : « D’accord ! On va le faire ! ».
Dès le début, nous l’avions compris : nous avions les mêmes aspirations, les mêmes goûts, les mêmes rêves... C’est donc naturellement que nous avons commencé à créer Nathael Paris. Inconsciemment, presque sans le vouloir, autour de cafés bus en terrasse parisienne, après ou pendant nos cours. C’est ici. C’est ici que notre histoire débute. Prenant vie, tous simplement grâce à une idée, un concept, une passion, un rêve...
Nous marchons sur Grand Boulevard, chacune un immense sac sur l’épaule. Qu’il était lourd ce sac ! Tissus, fils à coudre, carnet, crayons, des tonnes de crayons et de feutres en désordre dans le sac d’une et rangé dans une petite trousse pour l’autre. Comme souvent, suite à l’approche de la fin de nos études, nous parlons -rêvons- de notre future, de nos projets. Anne est la première à le verbaliser : « Moi, j’aurais ma marque, une marque qui parle au gens. » Elle souriait.
« Et si on le faisait ? Vraiment, pour de vrai. » Ça fait déjà plusieurs années et pourtant, je me rappelle de tous, je ne pourrais jamais oublier. Je me revois, l’étincelle dans les yeux poser à Anne cette question -qui n’en était pas une à vrai dire-. Elle n’aurait même pas eu besoin de me répondre, je connaissais déjà la réponse : « D’accord ! On va le faire ! ».
