Le canotier est un chapeau de paille de forme ovale à fond plat, à bords également plats, orné d’un ruban, qui est mis à la mode par les fervents du sport à la fin du XIXe siècle. Tours de tête disponibles : du 55 au 61 cm Couleurs de ruban disponibles : Marine. (Plus d'options sur demande, si plusieurs chapeaux) Le canotier est un chapeau de paille de forme ovale à fond plat, à bords également plats, orné d’un ruban, qui est mis à la mode par les fervents du sport à la fin du XIXe siècle. Couleurs de ruban disponibles : Marine. (Plus d'options sur demande, si plusieurs chapeaux) Tours de tête disponibles : du 50 au 61 cm Le plus courant pour la femme est 57cm, 58-59 pour l'homme. Si vous ne connaissez ou ne parvenez pas à identifier votre tout de tête : contactez nous ! Élément de l'uniforme d'été des marins de l’État au milieu du XIXe siècle, ce chapeau est utilisé par les canotiers, c'est-à-dire les marins qui montent les embarcations des navires. D'où son nom. Ce chapeau devient populaire à la suite de la mode qui a vu tous les enfants de la bonne société habillés en petits marins à la fin du XIXe siècle. Il est apprécié des cyclistes et des sportifs de façon générale. D'abord porté par les hommes, les femmes finissent par l'adopter. Le canotier n'est pratiquement jamais porté par les sportifs durant leurs exercices, mais beaucoup plus par les spectateurs. C'est donc le premier sportswear. Le canotier est le chapeau emblématique de Gabrielle Chanel. Elle le porta très tôt en réaction aux couvre-chefs si garnis des femmes à son époque. Il devient particulièrement célèbre au XXe siècle quand les vedettes de music-hall comme Maurice Chevalier ou Fred Astaire s’en emparent. Maurice Chevalier s'illustra, en 1962, dans une chanson : le Twist du canotier, enregistrée avec le groupe rock français les Chaussettes noires. La capitale de la fabrication du canotier est Caussade. C'est bien sûr là bas que Le Chic Français fabrique ses jolis canotiers, dans un atelier familial fondé en 1854. Ces chapeaux sont fabriqués en utilisant un matériel ancien et rare : des machines à coudre spécifiques pour la couture de la paille datant du début du XXe siècle, des formes en aluminium des années 1950 et des presses. De plus, l’entreprise perpétue les procédés de fabrication traditionnels. Le formage à chaud des chapeaux, le tressage, la teinte de la paille, qui est très peu pratiquées par les autres fabricants, et la couture sont réalisés manuellement. Pour ce savoir-faire ancestral, l’atelier fondé en 1854 par André Rey et appartenant toujours à la même famille, bénéficie du label « Entreprise du Patrimoine Vivant ». Le label Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV) est une marque de reconnaissance de l’Etat mise en place pour distinguer des entreprises françaises aux savoir-faire artisanaux et industriels d’excellence.