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Description
Pour celles qui aiment la décoration florale, les fleurs sont présentes dans chaque aspect de leurs vies. Le carnet de voyage Elisabeth et les fleurs seront toujours avec elles.
Une couverture art nouveau
S’il comporte des nuances selon les pays, ses critères sont communs : l’Art nouveau se caractérise par l’inventivité, la présence de rythmes, couleurs, ornementations inspirés des arbres, des fleurs, des insectes, des animaux, et qui introduisent du sensible dans le décor quotidien.
Avec sa couverture aux couleurs et aux formes de la nature, le carnet de Voyage Elisabeth est un hommage à l’art nouveau. Son nom complète le tableau, en femmage à Elisabeth Sonrel, peintresse faisant partie de ce courant artistique. Une ode à la nature et à ses formes.
Un carnet de voyage
Grâce à son élastique, le carnet Elisabeth est idéal en carnet de voyage. Il gardera en lieu sûr les tickets, flyer, menus et toutes feuilles volantes du voyage non encore collés. Ses différents papiers permettent l’aquarelle, le dessin, l’écriture et le collage. De quoi composer le carnet de voyage de leurs rêves.
Inspiré par
Élisabeth Sonrel, née le 17 mai 1874 à Tours, et morte le 9 février 1953 à Sceaux, est une artiste peintre et illustratrice française de style Art nouveau.
Elle partit à Paris parfaire sa formation artistique à l’Académie Julian dans l’atelier de Jules Lefebvre. En 1892, elle réalise Pax et Labor pour son examen terminal, qui sera exposé par la suite au musée des beaux-arts de Tours.
Elle expose ensuite au Salon de peinture et de sculpture entre 1893 et 1941. Son œuvre s’identifie au courant artistique préraphaélite après son voyage à Florence et à Rome où elle est influencée par l’Art de la Renaissance et le peintre Botticelli.
Sa peinture est inspirée de l’épopée chevaleresque de la légende arthurienne. Ses sujets, qu’ils soient portraits ou paysages, sont allégoriques, mystiques et symboliques. Son œuvre mystique englobe Âmes errantes (Salon de 1894), Les Esprits de l’abîme (Salon de 1899) et Jeune femme à la tapisserie. Lors de l’Exposition universelle de 1900, elle obtient une médaille de bronze pour sa toile Le Sommeil de la Vierge, ainsi que le prix Henri Lehmann de 3 000 francs par l’Académie des beaux-arts.
Elle se rend régulièrement en Bretagne pour s’inspirer dans la forêt de Brocéliande, mais également à Concarneau, Plougastel, Pont-l’Abbé et le Loctudy. Certaines de ses toiles sont exposées au musée du Faouët. Dans les années 1930, elle se fait construire une villa à La Baule.
Le carnet Elisabeth peut devenir :
-un carnet de voyage -un carnet de balades -un carnet de randonnées